L’association ACADEMIE DE BOXE CITOYENNE détient

• l’Agrément Jeunesse et Sports relatif à un fonctionnement ,démocratique et d’un encadrement de qualité, deux entraîneurs diplômés d’Etat;

• le label « Soyez Sport » délivré par le Conseil National Olympique Sportif Français, relatif à la promotion et au développement du sport dans les quartiers sensibles.

• le label de « Bronze », puis « Argent », délivrés par la Fédération Française de Boxe, relatif à un fonctionnement structuré et démocratique et une qualité de l’encadrement des publics ;

• le label « Fais nous rêver » par l’Agence Nationale de l’Education par le Sport, relatif aux actions d’éducation par le sport.

• L’Agrément service civique par la Direction Régional de la Jeunesse, des sports et de la cohésion sociale, pour accueillir des volontaires de 16 à 25 ans en engagement de Service Civique.

1. – Aménagement des préalables : il faut préciser le projet, le nommer  – l’estime de soi est quelque chose qui doit entrer dans les différentes scènes de vie (le cadre scolaire, la famille et le club de boxe…) impliquer toute l’équipe éducative et mettre en cohérence le projet de développer l’estime de soi et les comportements des encadrants.

2. – Travail avec les partenaires locaux : il faut créer des équipes et faire en sorte que leurs membres se parlent, que l’empathie se développe, entre eux et par rapport aux jeunes, qu’ils prennent conscience de leur responsabilité dans le développement de l’estime de soi chez les jeunes.

3. – Information et communication avec les parents : leur première préoccupation légitime est que leurs enfants réussissent leurs apprentissages. Mais quand on se lance dans un projet aussi intéressant que favoriser l’estime de soi et la relation positive entre les pratiquants, les parents doivent y être associés.

4. – Garantie d’un cadre favorisant : pour favoriser l’estime de soi dans une association, il faut d’abord garantir un cadre clair et sécurisant où les responsabilités de chacun soient clairement fixées afin de pouvoir aménager des lieux de paroles et des moments d’échanges.

5. – Travail sur les valeurs : l’association sportive – comme tous les programmes pédagogiques – est bâtie sur des valeurs fondatrices. Elles ne sont pas toujours activées ni vécues. Or les démarches autour de l’estime de soi partent des valeurs fondatrices de l’association. Il faut donc rappeler, clarifier et prioriser ces valeurs et surtout faire en sorte qu’elles soient en cohérence avec les pratiques et respectées. Le respect, le droit à la différence, l’égalité, la confiance et la coopération basée sur un principe d’égalité jouent un grand rôle dans le développement de l’estime de soi et la renforcent.

6. – Construction des projets « à la carte » : l’association souhaite mettre en place des projets adaptables selon les publics et les circonstances. Toutes les formes d’intelligence doivent être activées pour permettre les apprentissages et l’acquisition des connaissances sur la diététique, le sommeil, l’estime de soi…L’un des projets pour la saison en cours est d’accueillir les publics touchés par un handicap sur un temps spécifique une à deux fois par semaine.

7. – Avoir une approche positive de la personne, miser sur la vie relationnelle, le parrainage : le club, lieu de brassage, peut être un lieu d’inclusion : ce qui donne un sentiment d’appartenance et développe donc l’estime de soi. Pour qu’ils acquièrent des compétences sociales, il est essentiel de favoriser la vie relationnelle des jeunes, qu’ils se rencontrent, sympathisent … Il faut aussi promouvoir les échanges coopératifs, le soutien entre pairs, le parrainage. Il est très valorisant pour un jeune d’être capable d’apprendre à un pair ainsi que de recevoir d’un pair.

8. – Mettre un cadre d’accueil précis, des pratiquants … et des éducateurs sportifs : chaque nouvel arrivant dans l’association, y entre avec un bagage de peurs, de représentations mentales, de représentations de soi par rapport à l’association, à son groupe de niveau de pratiques, aux autres … et ce bagage est parfois négatif. Il faut donc prévoir des moments précis orientés sur l’accueil, l’intégration, la découverte et la connaissance des autres, la présentation positive de soi et l’écoute des autres. Il en est de même pour de jeunes éducateurs sportifs : lorsqu’ils ont été eux-mêmes accueillis d’emblée dans l’association, ils s’en trouvent motivés et leur estime de soi est renforcée.

9. – Développement du soutien aux plus faibles : il est extrêmement important de développer dans les cours les démarches d’aide aux plus « faibles ». Au-delà de la mise en place d’un projet « estime de soi », il faut ménager des moments où sera mise en place une pédagogie différenciée, de soutien, envers certains pratiquants qui ont besoin d’une attention différente. Ce sont des démarches très valorisantes pour ceux qui jouent le rôle de tuteurs.

10. – Développement du des responsabilités : permettre aux jeunes d’être responsable de ses paroles, de ses comportements, du rapport à son travail, c’est lui donner l’occasion de renvoyer l’image d’une personne entière, compétente, capable de s’améliorer, de faire des choix, ce qui développe considérablement son estime de soi.

11. – Travail sur le plaisir : pour développer l’estime de soi, il faut construire des démarches autour du plaisir, le plaisir d’apprendre, d’être au club, d’exister, d’avoir son mot à dire, de fêter les réussites, de se dire au revoir, de créer, de construire du lien avec les autres … tout cela étant une très bonne motivation pour apprécier le club de boxe.

1. Une salle de boxe privée, ouverte 7 jours sur 7 et 24h sur 24.

2. Un minibus de 9 places

3. Une salle de remise en forme.

4. Une salle de détente

5. Une salle de conférence

6. Une salle vidéo